Actuellement, les candidats aux concours externes préparent les épreuves écrites, alors que ceux des concours internes se préparent à des épreuves orales. Mais dans les deux cas c’est la panique à bord. Soit parce qu’aller aux épreuves est une surprise, soit parce que le temps file trop vite et que les échéances arrivent bientôt. Mais cela est aussi dû à la quantité de points à travailler pour être prêt pour le jour J. Voici trois conseils pour s’en sortir.
Panique à bord
Avoir une vision du temps qui vient. Cela consiste d’abord à planifier son temps sur les semaines qui viennent. En effet il faut y placer plusieurs obligations, qu’elles soient professionnelles, familiales, personnelles ou en lien avec le concours. C’est donc dans ce temps contraint que les préparations aux épreuves peuvent se faire. Ce temps doit aussi s’organiser sur la semaine. Pour cela, on peut construire un planning à la manière d’un emploi du temps scolaire. On repère alors les moments disponibles que l’on peut consacrer au concours.
Mais cela implique aussi de faire le point sur les éléments à travailler. En effet, les épreuves des concours demandent de maitriser des compétences disciplinaires, pédagogiques et méthodologiques. Les premières impliquent d’accumuler des connaissances diverses, variées et nombreuses. Les secondes sont en lien avec les programmes scolaires et l’ingénierie pédagogique. Enfin, les troisièmes demandent de bien maîtriser les étapes des épreuves et des exercices imposés.
C’est pourquoi il est possible s’entrainer sur des sujets. Ils deviennent la priorité. En effet, alors que l’acquisition des connaissances était prioritaire lors des mois précédents, il faut maintenant les mettre en pratique. C’est pourquoi travailler sur des sujets permet de s’approprier progressivement les compétences méthodologiques nécessaires pour les épreuves. Par ailleurs, ces entrainements permettent de compléter les connaissances acquises précédemment et donc de renforcer leur mémorisation.
