Les résultats des épreuves viennent de tomber. Les nouvelles sont bonnes mais le problème est que certains vont avoir trop peu de temps pour préparer les suivantes. En effet, entre la fin des épreuves écrites et les résultats d’admissibilité, nombreux sont les candidats en situation d’attente. Mais il faut maintenant rattraper le temps perdu et la pression monte car le nombre d’éléments à travailler est conséquent. Or, le problème n’est pas le temps dont on dispose, mais l’usage que l’on en fait.
Avoir trop peu de temps
Bien souvent les candidats souhaitent avoir beaucoup de temps à consacrer à la préparation des épreuves. En effet, le temps est un facteur clé. Cela se comprend d’autant plus que les compétences à travailler sont nombreuses et demandent surtout de l‘entrainement. Tout cela prend donc du temps qui vient s’ajouter aux autres obligations personnelles. Mais cette situation peut aussi être un piège car avoir trop de temps ne pousse pas les candidats à aller de l’avant de manière efficace.
Mais il est possible d’élargir le temps disponible. Or ce temps disponible est le plus souvent ce qui reste une fois que l’on a écarté les obligations professionnelles, familiales et parfois personnelles. De ce fait il ne reste souvent pas grand-chose et il faut faire avec. Cependant, il est possible d’en avoir davantage. Pour cela il faut faire appel à son équipe et déléguer des tâches (courses, ménages…) Mais il est aussi possible de profiter de toutes les occasions pour « être à sa préparation » : écouter des podcasts lors des déplacements…
Avoir peu de temps est donc un atout qu’il faut savoir gérer. En effet cela oblige à être efficace et à garder une dynamique positive sur la préparation. Aussi, faut-il d’abord poser le repère temporel clé : la date des épreuves. C’est elle qui fixe tout le calendrier à partir duquel on effectue un rétroplanning jusqu’à aujourd’hui. Ensuite, on dresse la liste de tout ce qui est à faire et travailler. Le but est de bien cibler les besoins nécessaires. On construit alors un agenda dans lequel on place ce qui est à faire dans le temps disponible.
